Il s’agit de la toute première opération de levage jamais réalisée sur la Tour Eiffel, âgée de bientôt 133 ans. © Télédiffusions de France
Avant d’accepter la mission, le directeur de HDF, Jean-Marc Geneschi, a pris le temps de la réflexion : « Il y a eu beaucoup de contraintes, règlementaires et techniques. C’est un environnement particulier où le pilote doit tenir en stationnaire sans aucun repère. Idéalement il faudrait une machine adaptée type Super Puma et un pilote automatique sur 4 axes. »
Peu de pilotes qualifiés
Il a d’abord fallu trouver un pilote à la fois capable et volontaire pour réaliser ce vol unique. En France,...
4 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Bravo pourquoi un 355 N survol Paris bi turbine vu le poids à soulever en plus c’était l’appareil parfait.
J’ai passé mes qualificatifs as350 er 350 b3 et vol de nuit chez hélicoptère de France ceux sont de vrais pro j’ai volé avec Daniel Pujols qui n’est plus..Cristophe schiedrich qui est chez HELI union… bravo pour cette magnifique expérience…
Un B3 aurait mieux fait l’affaire, je ne pense pas que Franck Charlet me dise le contraire !
Je suggère qu’on offre un baptême de l’air aux bureaucrates pour qu’ils commencent à savoir de quoi ils parlent !
Remarquable! Bravo au pilote et à tous les équipiers.
Il y a dans ce pays des professionnels compétents pour endosser pleinement leurs responsabilités, comprenant aussi bien les patrons qui assument que les « oeuvriers » qui réalisent.
Je pense aussi à tous nos militaires en mission un peu partout autour de la planète.
Bravo pour ce travail à Franck Charlet (que je ne connais pas).