Accueil » Hélicoptère » L’AIBN demande à Airbus Helicopters une modification sur le Super Puma

L’AIBN demande à Airbus Helicopters une modification sur le Super Puma

Les deux moteurs, une grande partie de la boîte de transmission principale et la tête rotor, tels que reconstitués par les enquêteurs du crash du H225 Super Puma opéré par CHC. © AIBN

Le rapport final sur l'accident mortel d'un H225 Super Puma en Norvège, en avril 2016, porte le fer dans la plaie. Les enquêteurs recommandent à Airbus Helicopters de modifier la boîte de transmission principale (BTP) des Super Puma H225 et AS332 L2. L'Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) exprime des divergences, tandis qu'Airbus s'engage sur la voie d'une amélioration via le suivi vibratoire.

L’origine de l’accident est confirmée : un minuscule creux par enlèvement de matière à la surface d’un pignon satellite. Confirmée mais « pas complètement comprise » : les enquêteurs norvégiens de l’AIBN s’interrogent toujours sur le mode de défaillance. Les criques (fêlures) se sont propagées sous la surface et en produisant très peu d’écailles.

L’AIBN exclut formellement toute erreur de maintenance ou de pilotage.

Intégrité structurale

La recommandation la plus spectaculaire porte sur « une conception revue afin d’améliorer la robustesse, la fiabilité et la sécurité...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

6 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Bonjour, lorsqu’une pièce mécanique n’a pas la longévité espéré, et affiche une usure prématurée, rien ne sert de la surveiller par des multiples capteurs. Si elle est mal née, hé bien il faut revoir sa copie et la repenser. Cela est valable aussi pour un pignon satellite.

    Répondre
  • La boite na pas vraiment evoluee depuis le 332, mais la masse max a augmente de 25%..
    Et il a vraiment un probleme:
    https://www.youtube.com/watch?v=6A-tzAP-vs0

    Répondre
  • « Une amélioration via le suivi vibratoire » ?? On a bien compris pourtant toute l’inutilité du HUMS dans le cas d’une rupture brutale d’un élément constitutif de la BTP !!

    Répondre
  • Mea-culpa, c’est bien la photo d’un ensemble BTP/MRP d’EC225. Dans cet état j’ai eu du mal à le reconnaître.
    Mes excuses à Thierry Dubois

    Répondre
  • Erreur , la photo représente la BTP et le moyeu rotor (dégivré) d’un AS332 L1. Quatre manchons articulés par roulements au lieu de cinq manchons articulés par butée sphérique sur l’ EC225.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.