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Une épine de plus dans les pales de l’Airbus H225

Avant la découverte d'une pièce à risque sur le plateau cyclique, les exploitants comme Era Group étaient déjà circonspects quant à la remise en service des H225. © Airbus Helicopters

Airbus Helicopters a découvert une nouvelle pièce à risque sur le rotor du H225. L'AESA a donc émis une consigne de navigabilité. Or c'est le nième problème auquel doit faire face ce type d'hélicoptère. De quoi donner le tournis aux exploitants. Cette mesure supplémentaire de précaution va sans doute alimenter les débats au salon Helitech (Londres, 3-5 octobre 2017) cette semaine. 

L’agence européenne de la sécurité aérienne (AESA) a émis la semaine dernière une consigne urgente de navigabilité pour l’Airbus Helicopters H225 (ou EC225 LP, dans la famille Super Puma) – un point de plus à surveiller sur un hélicoptère déjà sur la sellette. Le problème ne semble pas lié aux ennuis de boîte de transmission principale (BTP) survenus depuis 2009, le dernier causant un accident mortel en avril 2016. C’est une épine de plus dans le pied du constructeur, d’autant...

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6 commentaires

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  • La goutte d eau qui fait deborder le vase, le coup de grace ?
    L avenir de cet appareil est tres compromis et egratigne serieusement l image d Airbus helico en offrant sur un plateau des opportunites a la concurrence.
    Le carnet de commande sera determinant.
    Dommage.

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  • @Daniel: Oui tout le problème est la , depuis le SA 330 R Puma : appareil allongé qui servit au développement du « Super Puma » et qui reçoit en septembre 1977 avec une tête de rotor modifiée et des turbines Turbomeca Malika de 1 755 ch plus puissante sans modification structurelle de la BTP …. Depuis les accidents et incidents s’accumulent sur ce type de machine…..Ne pas mettre toute sa famille dans ce type d’appareil pour faire un baptême de l’air…. (Règle aéronautique N° XX-XY : me pas mettre tous ses oeufs dans le même panier )

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  • Pour info , crash d un 332 au Japon Hier, 4 morts..

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  • L’enquête a démontré que l’accident était le résultat d’une crique due à la fatigue des matériaux sur l’un des huit pignons planétaires du second étage de l’engrenage réducteur épicycloïdal de la boîte de transmission primaire (BTP).
    Cette crique trouve ses origines au niveau d’un des pignons, du côté roulement et se propage vers les dents. Elle paraît être due à une micro-fissuration.

    Le rapport ajoute que la formation de la fissure « s’est faite de telle manière qu’elle restait très difficilement décelable soit par le biais des méthodes de maintenance d’alors, soit par celui des systèmes de suivi (monitoring) qui étaient à bord de LN-OJF ». Plus clairement, la propagation de la fissure s’est faite de telle manière qu’elle est restée invisible…..

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