Airbus a lancé une étude de faisabilité auprès de la chaîne d’approvisionnement pour accélérer les cadences de production. © Airbus
Le chiffre d’affaires consolidé d’Airbus du premier trimestre 2018 s’élève à 10,1 milliards d’euros contre 11,4 milliards d’euros un an plus tôt. Pour le groupe ce recul de 12% reflète « essentiellement la faiblesse des livraisons d’avions commerciaux et d’hélicoptères ». Il est évident que les avions commerciaux (plus de 70% du chiffre d’affaires du groupe) pèsent plus lourd dans ce résultat que les hélicoptères (à peine 9,5% du CA). Airbus a livré au total 121 avions commerciaux contre 136 avions (52...
5 commentaires
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Et comment se fait-il que Boeing n’a aucun soucis d’approvisionnement de moteurs? Ce sont les mêmes motoristes, des versions de moteurs assemblés sur les mêmes chaines! Une histoire de gros sous?
Enfin une explication sérieuse!
les « défaillances » des motoristes ne sont pas de même nature, l’une est conceptuelle pas l’autre. Mais elles ont en commun un facteur exogène qui se nomme sourcing.
L’augmentation des cadences n’est pas compatible avec les capacités de production des fondeurs en particulier, qui sont en situation de « bi-monopole » et qui plafonnent les possibilités de croissance.
La planète terre ne va pas s’en plaindre.
« Mais, un programme comme celui de l’A320neo est un marathon, une discipline exigeante dans la durée qui n’a rien à voir avec une course de vitesse pure. » faut croire que M. Enders n’est pas à la hauteur… vivement qu’il prenne sa retraite…