Les tronçons de fuselage comme la plupart des sous-ensembles qui composent les A320 assemblés à Tianjin (Chine) sont expédiés par bateau depuis Hambourg. © G. Roy / Aerobuzz.fr
A la veille de l’arrivée d’Emmanuel Macron en Chine, début janvier 2018, les paris étaient ouverts sur le nombre d’avions qu’allait commander la Chine à Airbus. Une visite d’Etat, c’est un peu comme un salon aéronautique ; il faut à tout prix en revenir avec quelque chose. A défaut de contrats, des promesses d’achat. A défaut de protocole d’accord (ou MOU), des déclarations de bonnes intentions.
Entre industrie et politique
A Pékin, d’un commun accord, politiques chinois et français n’ont fait que s’inscrire...
4 commentaires
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Qui a dit: les hommes d’affaire sont tellement stupides qu’ils nous vendront la corde pour les pendre? C’est toujours d’actualité.
C’est Staline je crois qui disait que les capitalistes vendraient la corde pour les pendre …
Un immense pays nationaliste fabriquant tout et n importe quoi dont la contrefacon empoisonne le monde (au propre comme au figure). De quoi douter…
Il semble que jusque là le montant des ventes en chine est équivalent pour Airbus et Boeing. La stratégie d’Airbus est-elle si payante que cela ?