En Californie, le concept Vahana porté par Airbus prend forme. Le début des essais en vol de ce taxi aérien autonome emblématique des travaux de recherche du groupe dans le cadre de l'"urban mobility" est imminent. © Airbus / A3
Quand c’est Guillaume Faury, le patron du numéro un mondial de l’hélicoptère civil qui l’affirme en comité restreintLe 23 novembre 2017, à Marignane, lors d’une rencontre avec des journalistes de l’AJPAE (Association des Journalistes Professionnels de l’Aéronautique et de l’Espace)]on ne demande qu’à lui emboîter le pas. Surtout quand son directeur de la Recherche et de l’Innovation, un ingénieur Arts et Métiers d’origine polonaise, partage la même conviction.
A l’écoute des start up
Tomasz Krysinski, le...
5 commentaires
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Je crains hélas que ces multi-nationales fassent mine de s’intéresser aux drones habitables, ce qui n’est pas dans leur logique industrielle, uniquement pour dissuader les start up, beaucoup plus souples, innovantes et moins gourmandes qu’elles, de se lancer dans ce créneau assurément d’avenir, afin de conserver le marché juteux de l’hélico usine à gaz, à 4-5 millions pièce, pour les moins chers!…
Parce que si c’est pour nous pondre des drones pour Mr Toulemonde ou presque, à plusieurs millions € l’unité, ils peuvent se les garder!…
Et ce qui me met un méchant doute sur leur volonté de créer ce type de véhicule, c’est cette obsession bien trop suspecte, à ne penser qu’à du 100% électrique (puisque les problèmes de ravitaillement et d’autonomie resteront insurmontables pour des décennies!…) alors qu’une formule hybride serait de loin la meilleure solution, et surtout la plus rapide…
Bannir totalement les hydrocarbures, naturels ou de synthèse, est une fadaise, mais le faire croire est une stratégie utile pour dissuader les start up de fourrer leur nez dans un domaine nouveau, qui risquerait de détruire rapidement un gentil ronron industriel établi depuis 50 ans!…
La fonction cree l organe et si la demande s impose l offre suivra. idem pour les infrastructures. Donnons du temps au temps .
La plupart des communications sur ce sujet ne parle que du véhicule.
La technologie actuelle et son extrapolation militent pour effectivement être très confiants sur l’avenir de ce genre de transport.
Faire voler des drones en faible quantité reste aujourd’hui faisable et l’expérience de Singapour va le démontrer.
Un axe de recherche peu dévoilé est le passage à grande échelle avec la gestion du contrôle aérien de masse en basse couché que cela implique ( multiplication des points de convergence type aéroport miniature car il faut bien une zone d’atterrissage et de décollage sécurisée).
Y a tout il des études de ce genres en cours?
@ gweber.
Uber has signed a deal with NASA to develop software for the air taxi it plans to have in service within five years. At a web conference in Lisbon on Wednesday, Uber’s Jeff Holden said the company is teaming with NASA to develop a range of technologies designed to track and de-conflict its human-carrying quadcopters from each other and from other manned aircraft.
http://www.hurriyetdailynews.com/nasa-contracts-uber-to-build-flying-taxi-air-control-software-122117
La gestion du contrôle aérien de masse, voilà enfin la bonne question posée et jamais abordée.
Philippe Evrard