ATR prend pied en Chine. En se dotant d'une tête de pont commercial, le premier constructeur mondial de turbopropulseurs espère faire sauter le verrou politique qui lui interdit un marché prometteur. Le nouveau bureau d'ATR est installé à l'aéroport de Tianzhu.
Pour ATR, la Chine est l’école de la patience. C’est à la fois un marché à conquérir et un territoire interdit. Jusqu’à présent le constructeur européen est perçu là-bas comme un concurrent du futur avion de transport régional MA700 que développe le consortium chinois AVIC. Mais en attendant que ce clone du best seller franco-italien soit au point, la Chine a besoin d’un avion économique pour désenclaver des régions isolées. Jusqu’à présent, elle s’en est passée, mais ATR ne désespère...
3 commentaires
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ATR ouvre un bureau commercial à Pékin
pourquoi ne pas l’ autoriser à faire le 100 places qu’il réclame depuis des années, ce créneau est certainement plus rentable avec ce type d’ appareil qu’un biréacteur.
le temps passe et ne profite pas à l’ immobilisme, demain il sera trop tard
ATR ouvre un bureau commercial à Pékin
Ou pire, un 150 places, avec deux moteurs d’A400M….Ce qui permettrait de rentabiliser leur développement, et de faire du transport régional vraiment low cost, puisque la consommation serait de l’ordre de la moitié de celle d’un 737…
ATR ouvre un bureau commercial à Pékin
Airbus ne souhaite pas s’engager dans le programme d’un ATR 90/100 places, tant qu’Aliena sera partenaire. Trop de problèmes au niveau des fuselages en provenance de Naples sur les modèles actuels, cela nécessitant beaucoup de retouches en chaîne de montage à Toulouse et même jusqu’au delivery…