Si Textron reprend la branche avions d'affaires de Bombardier, la donne va changer sur le marché de l'aviation d'affaires et en particulier dans le haut de gamme. © Bombardier
Bombardier va mal et cela n’est un secret pour personne. Pour tenter d’arrêter l’hémorragie dans le passé et faire face, aujourd’hui, à ses échéances, le groupe industriel canadien a entrepris de brader ses actifs. Il a vendu, en 2017, à Airbus la majorité dans le programme du monocouloir C-Series, rebaptisé depuis A220. Faute d’être en capacité de suivre son partenaire dans ses projets d’investissements nécessaires à la montée en cadence de production, Bombardier pourrait sortir du capital.
Le canadien s’est...
3 commentaires
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Un grand, trop grand qui a trébuché et a beaucoup de peine à se relever. Triste histoire.
Les yeux plus grand que le ventre ?
Surtout des gestionnaires incompétents, qui étaient plus préoccupés par leurs revenus qu’à la survie de la compagnie.
C’est en fait un mal devenu endémique au Québec (toute une nouvelle génération de patrons incompétents), qui est en train de créer une pénurie artificielle de main d’œuvre : les gens préfèrent rester au BES (Bien être social, équivalent du RSA) ou se mettre à leur compte, que de subir un patron qui partage mal les bénéfices.