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Airbus : Eric Schulz succède à John Leahy

Eric Schulz (54 ans) a déjà fait deux passages dans le groupe Airbus au cours de sa carrière. © Airbus

Tom Enders a finalement tranché. Il a choisi Eric Schulz, actuel directeur des ventes de Rolls Royce (moteurs civils), pour prendre le relai de John Leahy, l’homme qui au cours de sa carrière chez Airbus a vendu plus de 16.000 avions. Un sacré challenge à relever pour Schulz.

« Je n’ai jamais vu John baisser les bras », affirme Tom Enders. Venant du PDG d’Airbus, le compliment a d’autant plus de valeur. Depuis l’annonce de la retraite prochaine de John Leahy, les éloges se bousculent. Elles ne peuvent qu’être sincères et méritées tant ce professionnel aura marqué l’histoire d’Airbus.

De Piper à Airbus

Depuis son arrivée chez Airbus, en 1985, Leahy a accroché à son tableau de chasse plus de 16.000 ventes. Il ne les a pas réalisées seul et il n’est...

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4 commentaires

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  • LEAHY est vraiment un type hors du commun, il nous en faudrait quelques uns comme lui en France où , c’est bien connu, nous n’avons que de bons vendeurs. Je les ai expérimenté au Bourget, c’était consternant.
    Bonne retraite John.

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  • Si le produit est bon, cela devrait se vendre sans trop de problèmes…
    Par contre si le produit de la concurrence est ou devient meilleur, là ça pose un problème…

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  • par BACCELLA MICHEL alias mb

    mb
    Tiens, je croyais que c’était nos Présidents de la République qui avaient vendus tous les avions Airbus , tellement ils s’en vantaient lors de leurs visites dans les pays acheteurs !
    Encore une désillusion sur l’efficacité de nos chers dirigeants passés, et une grande méfiance sur le comportement à venir de l’actuel en la matière.

    Répondre
    • Nous pouvons saluer la réaction.
      Pour mémoire, il aura fallu un constructeur, des mécanos et une piste en état, avec les services pour garantir les règles du jeu… avant que le pilote puisse prendre les commandes de son avion.
      Je vous l’accorde, ce n’est pas du tout l’affaire des représentants de l’état.
      Nous devrions laisser les politiques des autres états soutenir leurs propres constructeurs.
      Notre industrie française n’en n’a pas besoin.

      Répondre

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