Le CNES et les équipes du projet Loon de Google vont collaborer pour connecter le monde à Internet en mettant en oeuvre une flotte de plusieurs milliers de ballons stratosphériques dérivant entre 18 et 20 km d'altitude.
Des milliers de ballons permettant de connecter à Internet les zones blanches du globe, tel est l’objectif de l’ambitieux Projet Loon de Google. Le CNES soutient le projet en y apportant son expertise technique sur les ballons, fort d’un demi-siècle d’un savoir-faire reconnu internationalement dans ce domaine.
5 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
Google fait appel au CNES pour son projet Loon
C’est un véritable scandale qu’un établissement public se mette au service de « private Big Brother », qu’ont-ils dans la tête au CNES ?
Google fait appel au CNES pour son projet Loon
« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme »
RABELAIS
Google fait appel au CNES pour son projet Loon
Je ne sais pas ce que le CNES peut attendre de Google, mais j’ai l’impression que les bénéfices de ces recherches circuleront de manière assez unilatérale.
Le devenir de ce projet me semble assez improbable dans la mesure ou la couverture devant être assurée par ces ballons suppose une flotte en vol assez conséquente, puisque constament en dérive.
Je doute fort que nos amis chinois ou nord-coréens voient d’un bon oeuil ces objets transiter dans leur espace aérien…
Google fait appel au CNES pour son projet Loon
sauf erreur, l’ espace aérien est limité à une certaine altitude, en principe lié plus ou moins, à l ‘ apesanteur.
comme tout porte à croire que les chinois vont coopérer, Google sait faire , peut probable qu’il y a des grincements de dents à ce niveau, pour les autres, ils seront trop comptant d’en profiter. probablement sans payer, puisque ce sont d’eternels demandeurs sans moyens financiers, sauf pour l’ achat d’ armes de guerre.
Ce qu’il y a ç craindre, c’est que le CNES fasse le travail, et que Google empoche les royalties, je dirai que ce n’est pas nouveau !
Google fait appel au CNES pour son projet Loon
peut – on espérer, à terme, voir disparaitre les pilones pour le moins disgracieux qui ornent nos bâtiments à partir du moment où ils sont un peu élevés ?
ceux qui se plaignent , souvent sans apporter de preuves, que les ondes émises pourraient leur » casser la tête » pourront ainsi retrouver le sourire
seul problème, les municipalités et autres propriétaires qui ont pris goût aux redevances que procurent ces installations risquent de faire la grimace, il leur faudra trouver une autre source de revenus…suivez mon regard !
de ce fait, nous n’aurions plus de zones blanches…que du bonheur, mais pas pour demain