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La Gama pousse la FAA et l’AESA à revoir les règles d’homologation

Selon l'association internationale des constructeurs de l'aviation générale (Gama), les travaux ont bien avancé vers un processus plus aisé de certification. Le Graal serait un accord sur des normes au niveau mondial.

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« Dieu vous entende ». A Friedrichshafen, c’est ce qu’ont dû penser les acteurs de l’aviation générale en écoutant Pete Bunce, le président de la Gama, encourager l’AESA et la FAA à poursuivre leurs efforts d’harmonisation et de simplification. Pete Bunce a même félicité les deux agences pour...

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4 commentaires

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  • La Gama pousse la FAA et l’AESA à revoir les règles d’homologation
    L’objectif du Working Group est d’adopter la norme ASTM d’ici 2015 pour la certification des Aéronefs jusqu’à 10 tonnes MTOW et 19 pax où participent toutes les AA (Autorités d’Aviation civile, seule l’Inde n’est pas encore décidée)

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  • La Gama pousse la FAA et l’AESA à revoir les règles d’homologation
    Et quand pour la maintenance ?
    Un mécano d’avions de chasse qui n’a plus le droit de changer un fusible sur un DR400 après 20 ans de Mirage 2000 en avionique grâce à l’EASA

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  • La Gama pousse la FAA et l’AESA à revoir les règles d’homologation
    il faudrait aussi revoir les limites des assurances, ne pas oublier que si Cessna avait arrété les 172 et autres, c’est par ce que le cout de celles- ci était trop élévé, mais comme les Tribunaux accordent toujours plus ( voir 26 millions de dollars pour un flotteur de carbu dont la CN n’avait pas été respectée ! )
    même s’il y a simplification au départ, ceal risque d’être toujours pareil à la finale !
    bonne chance, mais ce n’est pas pour demain, les DR 400 et 172 peuvent encore vivre !

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  • La Gama pousse la FAA et l’AESA à revoir les règles d’homologation
    Ça ne serait pas trop tôt si on veut voir arriver sur le marche a un prix raisonnable de quoi remplacer DR400 et autres C172, et je ne vous parle même pas des lycosaures

    Les « exigences » (pas tant les exigences elles memes en réalité que les coûts a supporter pour les démontrer), ont pratiquement stérilisé l’aviation légère depuis ces 30 dernières années – il serait temps de prendre des mesures

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