Au-delà des seules performances techniques et des coûts d’opération du MS-21, UAC/Irkut devra également convaincre les compagnies aériennes de la solidité de son soutien technique. © Frédéric Lert/Aerobuzz.fr
Il aurait pu faire ses débuts publics au salon du Bourget, mais il fut finalement une des vedettes du salon MAKS de Moscou. C’est un peu, résumé en deux salons aéronautiques séparés de quelques semaines, le récit du fardeau porté par les appareils commerciaux russes : un espace vital intérieur qui leur est (partiellement) acquis, mais de grandes difficultés à trouver leur place face à la concurrence occidentale. Une situation qui encore aggravée par le poids des sanctions commerciales initiées par...
4 commentaires
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Il y a une petite chance, surtout s’il arrive a démontrer qu’il n’a pas les tares des deux autres… Parce que question SAV, les russes, ils ont aussi de l’expérience…
Ce qui est dommage, c’est que toute l’infrastructure, les ingénieurs, les bureaux d’étude, existaient auparavant. Il faut tout reconstruire.
Le support client, le défi est bien là.
Dépôts de pièces là où opèrent les clients, support technique H24 et télémétrie en temps réel. Airbus a construit sa fiabilité pas à pas.
Developper un avion et un moteur en meme temps de n’est pas du gateau, meme si ce sont 2 societes differentes, rappellons nous les deboires de Dassault avec le Silvercrest, ils ont fini par jeter l’eponge.