Accueil » Industrie » L’Occitanie affiche son soutien à Aura Aero

L’Occitanie affiche son soutien à Aura Aero

La Région Occitane prévoit d’investir entre 3 et 5 M€ dans le projet ERA (Electrical Regional Aircraft) d’Aura Aero. L’avion électrique de transport régional pourrait effectuer son premier vol en 2024. © Aura Aero

Aura Aero a inauguré sa nouvelle usine située sur l'aéroport de Toulouse-Francazal en présence des représentants de l'Etat et des présidents des collectivités locales. Le nouvel avionneur compte parmi les acteurs du plan de relance de la filière aéronautique régionale.

La nouvelle unité de production d’Aura Aero totalise 3.500 m2 sur le site de l’aéroport de Toulouse-Francazal au sein d’un hangar historique, le HM7. Sur ce site unique sont désormais réunis les zones d’études, d’usinage et de montage, la chaîne d’assemblage, les zones de test et de livraison client. L’objectif annoncé est d’assembler 30 avions en 2022, puis une cinquantaine en 2023. Les effectifs se composent actuellement d’une cinquantaine de salariés. Ils devraient atteindre 80 salariés fin...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

23 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Répondre
  •  » Aura Aero a officialisé son projet d’avion électrique 19 places ERA » .
    Apres tout, rien n interdit de projeter…

    Répondre
  • par jean-paul Vaunois

    la photo rappelle le programme Skylander : un Ministre d’état, un président de région et le maire de Metz qui finance un projet de commuter fait pas une société non agréée par l’état où il y avait déjà 4 compétiteurs internationaux et un tout petit marché .
    Les meilleures voitures électriques font 500 km, un avion consomme plus …Pour 300 km , il vaut mieux y aller e n train ou en voiture

    Répondre
  • Il y a des gens qui savent comment récupérer des fonds publics…non remboursables !le pied !

    Répondre
  • Tres utopique il y en a partout, ils cherchent peut être a se faire racheter par AIRBUS……….
    Messieurs faites vos preuves…. Vous n’êtes vraiment pas crédibles…

    Répondre
  • Lorsque des fonds financiers sont rendus disponibles en inventant des projets utopiques pourquoi se priver?
    Les opportunistes « écologistes » ne manquent pas!
    Tout le monde s’y retrouve, les « pseudos » industriels, les politiques correctement « verts » et, à partir du moment ou c’est le contribuable qui paye….

    Répondre
    • Oui, en effet, il serait dommage de pas en profiter, surtout que Aura Aéro n’est pas un pseudo industriel mais une vraie équipe avec un projet abouti qui vole et va être certifié, avec des vrais clients qui attendent cet avion depuis des années. Ils ont besoin de ces moyens et vont en faire bon usage. Le développement de la version hybride ou électro de l’Intégral est une justification bien plus juste de cette aide régionale. Mais elle aurait moins de portée qu’un projet d’avion de transport…
      Mais je ne peux m’empêcher de penser que ce mode de « fonctionnement » est très bancal…

      Répondre
      • Chuuuuut ! Faut pas dire que l’argent vert va – entre autres – financer un avion gris. Des contestataires trainent par ici, et ça va encore jaser 🙁
        Non non, tout l’argent est bien pour voler à 19 sans émettre plus de fumée qu’un pet de lapin 🙂

        Répondre
  • par Laurent Altenburger

    je pense que c‘est le projet d‘heart aerospace qui les a attisés. Laissons les faire et voyons!

    Répondre
    • Laissons les faire dites vous !
      Mais qui va débourser les 3 à 5 M€ ? La région bien sûr et la région c’est qui ? Vous, moi et celà pour un projet qui bien évidemment ne verra jamais le jour !

      Répondre
  • « … on veut du green green greenwashing, on veut des tours d’avions…
    … du réseau…
    … c’est nous les as, les pinocchios du marketing »

    chante le groupe Tryo 🙂

    Répondre
  • @ Garcia
    Oui il n’y a que les hommes politiques pour croire à un tel planning ou faire semblant d’y croire?… mais cela nous fait rêver un peu en attendant de le voir en bout de piste pour son premier vol hopefully

    Répondre
  • Ça nous rappelle le Skylander un projet avec pourtant des technos toutes sur étagère qui a consommé plusieurs dizaines de M€ pour accoucher au bout d’une dizaine d’années d’une maquette en contreplaqué (reconvertie en chambres d’hôtes)

    Répondre
  • 1er vol dans 3 ans pour l’avion l’avion électrique régional…. ahahah qu’il est bon de rire parfois…. !
    Un projet d’avion « page blanche », avec des technologies même pas au TRL6 aujourd’hui, probablement 600 à 700 Meuros à trouver pour le développer…. le tout en 3 ans..

    Bonne chance !

    Répondre
    • J’ai eu la même réaction, c’est mignon de viser 2024 pour le premier vol d’un hexamoteur électrique qui n’existe que sur une vue d’artiste avec un volume d’empennage fantaisiste.
      Sans remettre en cause le savoir-faire d’Aura Aero qui a été démontré par le développement d’un prototype de CS-23 non encore certifié, il y a une très grosse marge avec un CS-25. Une mise en service en 2026 (donc certification en 2025) c’est un gentil rêve. Il faudrait déjà obtenir leur DOA pour pouvoir certifier l’Integral.

      On pourrait penser que ce genre de promesses suffisent à disqualifier un projet, mais il faut croire que les décideurs ne peuvent pas trouver le numéro de quelqu’un qui connaisse l’aéronautique pour demander un avis (pourtant ça ne manque pas en Occitanie)!

      Répondre
      • par Christophe Bozec

        19 places c’est toujours dans la catégorie Commuter de la CS-23, pas de CS-25 nécessaire.

        Répondre
      • Bonjour @Charles,
        Le concept ne répond pas à la CS-25 mais bien à la CS-23 (jusqu’à 19 places). Il reste donc dans le domaine de l’aviation légère à l’image des TBM, Pilatus et autres !

        Répondre
      • Bien vu je n’avais pas vu les 19 places donc oui ça devrait pouvoir être un commuter. Ceci dit les normes Commuter deviennent de nos jours des quasi CS-25 notamment pour ce qui concerne les analyses SdF (qui pourraient d’ailleurs être un joli morceau pour cet appareil !).

        Répondre
      • S’il ne dépasse pas une certaine masse. Mais avec des batteries, ça va aller vite.

        Répondre
      • Rabat joie
        En cette période difficile, bientôt 100000 morts du COVID et de l’argent sans compter , plus c’est gros, mieux ça passe

        Répondre
    • C’est l’excuse pour avoir la ligne de budget pour construire les voltigeurs et leur usine. un prétexte quoi…
      Ne vous inquiétez pas, il ne sortira rien de ce liner. Je suis très surpris que cette équipe s’affiche avec ce projet utopique en total décalage de ce qu’ils ont déjà fait avec brio. Ces trois personnes sont des spécialistes de l’aviation légère venant de terminer un avion de voltige biplace qu’ils doivent finir de certifier. Que viennent-ils faire dans un projet de liner « facon turboprop » de transport public ?
      Décidément, le premier avril est vraiment en avance cette année !

      Répondre
      • Je ne pense pas que ça vienne des « trois personnes spécialistes de l’aviation légère »,mais des financiers qui les accompagnent

        Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.