Le motoriste français Price Induction qui poursuit le développement de son réacteur pour jets ultra-légers est toujours en quête d’un premier constructeur aéronautique prêt à monter le DGEN380 sur un mono ou un biréacteur.
Il ne lui manque plus que deux ailes. Le réacteur DGEN380 de Price Induction est prêt à voler. Le modèle présenté au salon du Bourget démontre que le motoriste d’Anglet est aujourd’hui en mesure de proposer à un avionneur un produit finalisé destiné à équiper un avion susceptible de croiser jusqu’à 240 nœuds avec une consommation optimale entre 10.000 à 15.000ft.
Un récent test d’endurance de la version actuelle intégrée A7-A du Turbofan DGEN 380 a démontré la fiabilité du moteur.
Ce test a été réalisé dans le nouveau banc de test B 64 installé à Tarnos (Landes) en suivant les règles d’exigence de la CS-E et a duré 150 h à la poussée maximale, supérieure de plus de 5% par rapport à celle de la spécification.
Le DGEN380, turbofan à fort taux de dilution optimisé, est doté d’un FADEC intégré. Il se caractérise par son faible encombrement, son faible niveau de vibration et sa faible signature sonore. Il a été imaginé pour le marché des « Personal Light Jets » (PLJ), aujourd’hui au point mort. Les porteurs de projets ont été sérieusement pénalisés par la crise financière. Price Induction ne baisse pas les bras pour autant et poursuit son implantation mondiale. Après les Eatst-Unis et le Brésil, il s’apprête à créer une tête de pont en Allemagne dont la vocation sera également de pénétrer le marché de la formation via les grandes universités technologiques pour y placer ses bancs d’essais et ses simulateurs.
Le DGEN 380 constitue la base de cette gamme de moteurs de 2,5 kN à 4 kN de forte dilution, spécialement conçus pour le domaine de vol de l’aviation générale (inférieur à 25.000ft). Le DGEN 390 de 3,3 kN (flat rating ISA +10) est l’évolution naturelle du DGEN 380, il est développé en parallèle. En configuration bi-moteur, le DGEN 380 permet d’équiper des avions jusqu’à 1600 kg environ croisant à 240 nœuds, le DGEN 390 permet d’équiper des avions de 1900 kg environ croisant à 280 nœuds.
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Price induction toujours à la recherche d'un avionneur
moteur deja depasse l etude ayant traine presque 10ans fantasque projet des pers jet ou peu de constr serieux se sont lances je crains le pire pour l investi
Price induction toujours à la recherche d'un avionneur
tres bonne idée rouletabille,
Fournir ce moteur pour les helico legers...puis on pourra en equiper les bateaux et les scooter et si ca marche bien on en mettra meme sur les ascenceurs.
Ca va avoir un design d enfer un helico leger avec un reacteur voir 2.
Price induction toujours à la recherche d'un avionneur
pourquoi pas l' utiliser sur un hélico léger ?
ce serait un bon début qui permettrait d' attirer l 'attention des constructeurs de mini-jet
reste à connaitre le prix ?
Price induction toujours à la recherche d'un avionneur
Moteur déphasé avec son temps surtout.
Quel bénéfice client? Un turbo prop de puissance similaire au DGEN aurait des performances très proches d'un bi DGEN, tout en consommant près de 2 fois moins. Socata l'a bien compris avec ces TBM.
Quels seraient les clients de tels avions? Aujourd'hui, les très riches ont déjà accès à des "vrais" jets, piloté par des pilotes pro. Les personnal jet ne les intéressent pas. Le but est de viser des pilotes. Les moins riches mais suffisamment passionné pour être pilote regarde plus loin que le simple look de l'avion. Bref, niveau marketing, ce moteur me laisse perplexe ...
Price induction toujours à la recherche d'un avionneur
Comme le diesel SMA, quoi. On a en France des moteurs extraordinaires et fantastiques mais ... pas d'avions pour les recevoir ! !
Il ne faut pas s'attendre, en tou cas pour le demarrage, qu'on va trouver une celule pour ces moteurs hors France, Il faut qu'il y aie un avionneur français qui tire parti de l'avance technologique de ces moteurs.