La livrée des futurs Beluga XL a été plébiscitée par le personnel d’Airbus. © Airbus
Le futur avion-cargo hors gabarit d'Airbus est entré en assemblage final, à Toulouse-Blagnac, début 2017. Au fil des livraisons des premières pièces, le qualificatif "XL" attribué au Beluga, prend toute sa signification.
Le BelugaXL, appareil de dernière génération (dérivé de l’Airbus A330), est le successeur de l’actuel BelugaST (dérivé de l’Airbus A300). Le programme a été lancé en novembre 2014, afin de répondre aux besoins accrus de capacité de transport d’Airbus, dûs à la hausse des cadences de production. Airbus a décidé de produire cinq nouveaux BelugaXL, qui seront mis en service progressivement à partir de 2019.
Beluga XL, un programme de dimensions exceptionnelles pour Airbus
6 commentaires
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Bonjour,
Malheureusement, je n’ai pas les connaissances de mon homonyme en matière de gestion de projets aéronautiques, et encore moins en économie. aussi, je me garderai bien du moindre commentaire sur l’organisation d’AIRBUS.
Nous aurons peut-être de mauvaises surprises mais, en attendant, reconnaissons quand même le chemin parcouru depuis les années 70.
Jean-Louis Chollet (Arcachon)
Sage parole Bébé-Chollet, même si les homonymes sont parfois pas si éloignés !
Alors doit-on se remémorer d’où vient Airbus, d’après 1945, des décisions qui ont conduit à faire des Caravelles, Concorde, Ariane…?
Même si le modèle est complexe, je préfère faire des avions avec nos voisins (Avions voisins :o) ) C’est bien plus valorisant que de s’échanger des munitions…
Sors de ce corps pulsion simplificatrice !
Sinon l’histoire se reproduit, inlassablement, comme si personne n’en tirait de leçon.
L’humain et le monde sont décidément complexes… et amnésiques peut-être.
J’aimerais savoir quelle est la limitation vent de travers de cet avion.
Le modèle industriel d’Airbus – particulièrement pour l’A380 – est une aberration industrielle et économique ! Nous n’allons pas tarder à en payer le prix…
Comment parler des projets collaboratifs… assemblage ou intégration des partenaires ?
Quelle entreprise pouvait aurait pu développer en solo une offre concurrente à celle de nos amis de Seattle ?
Alors doit-on attendre l’idéal tout le temps ou souhaiter une évolution suffisamment rapide pour conserver des avantages concurrentiels… Essais / erreurs / essais = apprentissage.
Tolérance, écoute, pondération ne sont pas l’apanage des « bons » Français. C’est étonnant, l’observateur a souvent l’impression de payer les erreurs « des autres » et s’oppose au changements, par principe :o)
Cette posture doit être bonne quelque part car pour le coup, c’est vraiment la plus franco-inoxydable.
Qui est le plus prompt au changement, le consommateur ou le fournisseur ? Si c’était le second, nous aurions les meilleures entreprises du monde, tous domaines confondus.
Alors construire des avions de la sorte n’est pas gênant, dès lors qu’ils se vendent.
J’allais oublier : préparez-vous à votre future mission car des cadres d’Airbus lisent ces colonnes et vont certainement vous appeler pour faire ce qu’il n’arrivent visiblement pas à faire seuls.
Bravo Pilotaillon ! Il fallait une fois le dire. Si tous les contradicteurs du progrès se liguaient pour une projet commun nous serions sur le point en 2020 de découvrir et d’utiliser la hache en pierre inoxydable. Que de génies méconnus !!! Quel gâchis !!!