L’A400M coûte très cher au groupe Airbus qui a pourtant décidé, au printemps 2015, à la suite de l’accident de Séville, de mettre à plat le problème. La mésaventure de la ministre allemande de la Défense, début février 2017, ne contribue pas à créer un climat serein, pourtant indispensable à la résolution de ce casse-tête militaro-industriel.