C’est autour de cette question à la Montesquieu, mais sans connotation persane, que viennent de se réunir au sol à la DGAC, sous la houlette de l’ANPI (Association Nationale des Pilotes Instructeurs), 150 instructeurs de vol pour tenter de trouver des réponses nouvelles et modernes à cette interrogation : comment peut-on/doit-on être demain Flight Instructor ?
Accueil »