Les professionnels de l’aéronautique ont beau s’en défendre, rien n’y fait. Le transport aérien demeure le responsable désigné de la catastrophe annoncée. Du coup, à trop vouloir convaincre de ses bonnes intentions, il en aurait presque oublié qu’il est, lui aussi, une future victime potentielle, de l’emballement climatique. Le Centre européen de recherche et de formation avancée en calcul scientifique (CERFACS) vient de le lui rappeler.
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