Avec les annonces de la rentrée, la barre des 200 projets eVTOL, ces aéronefs électriques à décollage et atterrissage vertical, devrait bientôt être franchie. Combien iront au bout ? Très peu sans doute. Faut-il pour autant décourager ceux qui se lancent ? Ne participent-ils pas à leur manière à la transition énergétique, la nouvelle frontière de l'aéronautique ?
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