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Robert Gastambide est un témoin privilégié des débuts de l’aviation. Les avions et moteurs « Antoinette », conçus par Léon Levavasseur et financés par son père, Jules Gastambide, portent le prénom de sa sœur. Il vit au milieu des pionniers et assiste « en direct » à leurs exploits. Ainsi, lorsque Blériot et Latham se lancent à l’assaut de la Manche en juillet 1909, il est

Gérard Maoui lit un extrait de « Toucher le ciel » de Bernard Bonnelle, une manière de biographie littéraire d’Antoine de Saint-Exupéry, abordée sous l’angle original de son amitié avec Henry de Ségogne.

Avec son érudition, son esprit, son humour, Charles Dantzig a rassemblé dans son « Encyclopédie capricieuse du tout et du rien », des listes innombrables de choses, de lieux, de gens qui peuplent son univers. On l’écoute avec bonheur parler de littérature, d’art, de géographie, de futilités ou de choses graves. Dans l’extrait lu par Gérard Maoui, il est question d’une liste d’aéroports charmants…

En 1956, au Brésil, la parachutiste Colette Duval (1930-1988) saute à une altitude de 12.080 mètres et ouvre son parachute à seulement 250 mètres du sol, battant ainsi le record du monde toutes catégories en chute libre. Pour en arriver à un tel exploit, il a fallu, un jour, sauter pour le première fois… Gérard Maoui lit un extrait de « La Sainte Pétoche », son

Début septembre 1930, l’aviation française vit de riches heures. Alors que Costes et Bellonte, partis du Bourget, atterrissent triomphalement à New York, Maryse Bastié entame dans le ciel du Bourget une ronde qui durera près de 38 heures. Elle pulvérise ainsi le record d’endurance sur avion monoplace. Gérard Maoui lit un extrait de « Ailes ouvertes » dans lequel la célèbre aviatrice raconte cet épisode.

De l’amitié qui liait le poète Jean Cocteau à Roland Garros, l’aviateur vainqueur de la Méditerranée en 1913, il reste de magnifiques pages qui constituent un patrimoine littéraire de premier ordre. Comme ce portrait intitulé « Sur Garros » que Cocteau écrivit pour la revue Plein Ciel en 1935 et dont Gérard Maoui lit un extrait.