Le Qatar dispose actuellement d’une aviation de combat miniature composée à peine d’une douzaine de Mirage 2000. Demain, il alignera sur le papier sept fois plus d’avions, parmi les plus modernes au monde. Comment une force aérienne composée de 1.500 hommes aujourd’hui, peut-elle envisager, d’ici quelques années, de gérer simultanément la logistique opérationnelle propre à chacun des trois types d’avions de combat ?