Le Pégase Mark II n’est toujours pas qualifié. L’engin volant ne répond pas aux exigences spécifiques de certains clients, en particulier l’armée française qui a investi près de 700.000 euros dans le programme. Pour y remédier, son inventeur Vaylon (une start up alsacienne) a fait appel à Sopemea, filiale d’Apave.
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