A Friedrichshafen, l’Agence européenne de sécurité aérienne propose aux plates-formes de coavionnage un code de bonne conduite. La position dérogatoire de la France qui visait à verrouiller l’activité n’est (en principe) plus réglementaire tenable, d’autant que l’EASA estime que le coavionnage, au-delà de favoriser le développement de l’aviation légère, peut devenir un levier d’amélioration de la sécurité. Les deux plateformes françaises de coavionnage, Wingly et Coavmi,