Dans le contexte de crise politique aiguë que traverse la Côte d’Ivoire, la compagnie nationale ivoirienne, filiale d’Air France, mise plus que jamais sur la qualité du service.
Pour faire face à la chute brutale de son activité à la suite des événements du 19 septembre 2002, Air Ivoire a renoncé à exploiter son réseau domestique déficitaire. Dans le même temps, plusieurs destinations telles que Accra et Lomé, Bamako et Conakry ou encore Ouagadougou et Niamey ont été couplées. » Cela nous permet de faire le gros dos en attendant que la situation s’améliore, sans avoir à réduire nos fréquences « , affirme Jean-Louis Hallot, directeur général d’Air Ivoire...
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