La montée en puissance du lobby écologiste fait les affaires du constructeur franco-italien.
Il y a quatre ans, ATR était donné pour moribond. Le constructeur survivait en revendant des avions d’occasion et en transformant en cargo de vieux ATR42. Plus aucune compagnie régionale ne voulait de turbopropulseur. Une petite dizaine d’avions neufs sortait à l’année des chaînes d’assemblage de Toulouse. La mode était aux biréacteurs.
Et puis le prix du baril de pétrole s’est enflammé et les exploitants d’Embarer et de Bombardier se sont rendus compte que les quelques minutes de trajet gagnées par...
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