D’ici à 2032, Boeing estime qu’il faudra former 498.000 pilotes de ligne et 556.000 mécaniciens pour faire face au développement de la flotte mondiale du transport aérien.
Selon une récente estimation de Boeing, le transport aérien aura besoin de plus d’un million de nouveaux pilotes de ligne et de nouveaux mécaniciens dans les vingt ans à venir.
13 commentaires
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Boeing revoit à la hausse les besoins mondiaux de pilotes de ligne
En attendant,les compagnies se refusent d’embaucher des pilotes à 2000h sur Boeing 737 !!
Boeing revoit à la hausse les besoins mondiaux de pilotes de ligne
Les USA qui font la pluie et le beau temps donnent aussi des prévisions à relativement longue échéance et sans compter avec une éventuelle mais possible crise pétrolière…Ils sont optimistes, espérons seulement qu ils aient raison.
Boeing revoit à la hausse les besoins mondiaux de pilotes de ligne
JMC, vos chiffres concernant les epls ( sur 250 seulemnt 10 pilote de ligne ) sont faux. Ils sont bien meilleurs, même si quelques un sont dans la difficulté. Globalement je dirais que la motivation et le temps finissent toujours par payer.
Cordialement
Boeing revoit à la hausse les besoins mondiaux de pilotes de ligne
Espérons que les départs en retraite prévus à partir des 2 années à venir (je pense aux gens issus du babyboom) couplé à la reprise (mdr j’ai dit ça moi ?) suffiront pour donner une bouffée d’air.
En attendant, aujourd’hui tu dois te payer, un CPL, un IR une QT JAR25, un LT pour un retour à la case départ car on va te demander 1500hdv sur type…
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« Fly Dubaï recrute des profils avec 250h avec un TR 737 »
On doit pas avoir les même sources alors, Via le site de recrutement … Ha oui évidemment une autre voie existe qui donne beaucoup de facilité, le piston ?
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En attendant ils ou elles survivent en partie grace au BB et PPL dans les aeroclub à 20 €/h en moyenne sur des petits coucous pour payer le crédit de la formation si lourd.
Amicalement
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Demandez à un pilote Français qui vient d’obtenir sa qualif 320 grace à un fond Gecif de s’expatrier, il vous dira niet! Par contre les pilotes qui se la payent de leur poche partent fissa. Cherchez l’erreur…
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Leurs chiffres sont déjà pas crédibles sur un point : à peu près autant de mécanos que de pilotes voudrait dire qu’il n’y a guère qu’une ou deux heures de main d’œuvre à fournir pour entretenir un Boeing pour chaque heure de vol, alors qu’on est déjà aux alentours d’une heure de mécanicien pour 2,5h de vol sur des cessna d’aéroclub…
Boeing revoit à la hausse les besoins mondiaux de pilotes de ligne
Autre remarque :
Comment expliquer que les 40 pilotes EPL formés par l’ENAC par an, sont dans la galère complète depuis 2008 ? Sur les quelques 250 sortis, seuls moins d’une dizaine ont un emploi de pilote de ligne …
En fait, chaque pays fait du nationalisme et refuse de plus en plus les pilotes étrangers. Donc si vous êtes français, seul le marché français (ou presque) est ouvert : et avec la situation d’AF et des quelques petites autres compagnies, pas d’embauche d’ici 5 à 10 ans.
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J’aime bien le « sauf en Europe » à la fin de l’article. De quoi remercier le médecin à Percy de m’avoir déclaré inapte. Merci la FAA !
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Un pilote formé en France peut sans problèmes être embauché ailleurs. je connais d’anciens EPL (formation ENAC, anciennement SEFA) qui faute d’embauche AF sont partis à l’étranger, et sont parvenus CdB long courrier bien avant leurs collègues d’AF.
Oui, mais bien sûr, ils ont accepté en début de carrière des salaires inférieurs à ceux d’AF.
La prise de risque entrepreneuriale paye !
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Entendre un français dire que les autres pays font du « nationalisme » est d’une ironie certaine. La DGAC est l’une des rares administrations JAA à interdire en l’état le titulaire d’une licence JAR délivré par un autre pays membre de voler sur un avion « Fox » (obligation d’une validation de licence qui n’existe dans aucun des autres grands pays européens). Passer un ATPL pratique lorsque l’on travaille dans une compagnie étrangère est quasiment impossible, alors que c’est si simple avec des licences JAR (ou EASA) délivrées par la CAA, IAA ou que sais -je.
Pour l’embauche en compagnie, même topo. La majorité des Français qui ont trouvé du travail ces dernières années sont à l’étranger. En maitrisant seulement l’anglais on trouve du travail dans des compagnies anglaises, irlandaises bien sur mais aussi allemandes (sans parler allemand), scandinaves (sans parler aucune des langues scandinaves), belges (sans parlais français ou flamand), hongroises, polonaises, ou même émiratie (flydubai par exemple recrute sur b737des CPL avec 250 hdv).
Mais sans parler français… impossible de travailler pour une compagnie française.
Oui le marché de l’emploi est en berne depuis 2008. Malgré tout j’ai de nombreux exemples de pilotes qui comme moi ont trouvé du travail en ligne depuis 2008 avec seulement 250 hdv total, en France ou en Europe. Je n’ai donc pas d’explication sur les chiffres avancés sur les EPL.
Dire que le marché reprend est également une vérité, et même en Europe. Norwegian rentre entre 15 et 25 avions par an. Multiplié ce chiffre par 5 et vous obtenez le nombres de F/O dont ils ont besoin.
Alors oui, raisonner franco-francais aujourd’hui n’est pas gage de défaite assurée, mais compromet sérieusement ses chances de succès.
Bon courage à tous ceux qui cherchent. Même si la route reste difficile, à l’échelle de notre métier (mondiale), les choses s’arrangent.
Boeing revoit à la hausse les besoins mondiaux de pilotes de ligne
A lire l’article, il existe un réel besoin de pilotes… tant mieux! il est cependant surprenant qu’un jeune professionnel, prêt à s’expatrier, en cours d’obtention des licenses américaines, ayant ses licenses françaises et canadiennes, ayant arrosé de CV et de lettres de motivation de multiples compagnies à travers le monde, ne parvienne pas à trouver de travail. Evidemment il n’a pas de piston. Alors il poursuit son arrosage, se démène comme un fou pour établir de nouveaux contacts, fait de l’instruction bénévole dans un club afin de monter ses heures et ne pas perdre la main…. , obligé de trouver un job alimentaire (faut bien vivre!) chercher l’erreur. Si quelqu’un à des solutions à proposer…