Accueil » Transport Aérien » Ça s’est passé en novembre 2016 sur les aéroports français

Ça s’est passé en novembre 2016 sur les aéroports français

La future salle d'embarquement au coeur de l'aéroport de Marseille restructuré. © AMP

Même si le rejet du budget de l’aviation civile par la commission des Finances du Sénat a été sans conséquence, cette péripétie parlementaire a permis une nouvelle fois à la FNAM de tirer le signal d’alarme. Le pavillon français bat de l’aile dans l’indifférence du gouvernement empêtré dans le dossier Notre-Dame-des-Landes qui offre, un nouveau rebondissement en novembre. Et pendant ce temps, Nice et Lyon se préparent à basculer dans le privé…

Air France y croît encore et c’est normal ! J.M. Janaillac, nouveau PDG d’Air France-KLM, a présenté, le 3 novembre, le « nouveau projet stratégique d’Air France-KLM pour reprendre l’offensive ». La pente sera raide, d’autant que la concurrence étrangère est vive jusque sur le marché domestique. A ce rythme, la part du pavillon français va bientôt tomber en dessous des 40%.

La gravité de cette situation laisse indifférent le gouvernement. Pourtant, toutes les occasions sont bonnes pour la Fédération nationale de l’aviation marchande...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

Un commentaire

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Pourquoi, nous qui sommes fonctionnaires et post loi LOLFT, nous qui travaillons parfois « au rouge », sommes-nous si mal traités par l’opinion publique : jalousie par rapport à la sécurité de l’emploi? Blocages informatiques de gestion? défauts parfois de fournisseurs ou de sous-traitants en difficulté? Et parfois nous informons nos partenaires sur le fait que des innovations possibles impliquent des décisions à modifier. Mais le risque politique existe toutefois.

    Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.