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Collision d’Haneda, le rapport préliminaire pointe des erreurs humaines

La collision entre le Dash 8 des gardes-côtes japonais et l'A350 de JAL saisi par les caméras de l'aéroport d'Haneda. © JTSB

Alors qu'il s'était aligné sur la piste de l'aéroport d'Haneda, ce 2 janvier 2024, le Dash 8 des Garde-Côtes japonaises a été percuté par un A350 de Japan Airlines à l'atterrissage. Si aucune victime n'a été déplorée à bord de l'avion de ligne, 5 des 6 membres d'équipage du Dash avaient péri. Un an après le drame, le rapport préliminaire publié par les autorités japonaises fin décembre en éclaire les circonstances.

Le Dash 8 était en partance pour Niigata dans le cadre des opérations de secours après un tremblement de terre survenu la veille (7,6 sur l’échelle de Richter, 462 morts et plus de 80 000 maisons endommagées). Le seul rescapé de l’avion télescopé par l’Airbus, bien que gravement blessé, a été en mesure d’apporter son témoignage. Il précise qu’il est certain d’avoir entendu le contrôleur aérien au sol les avoir annoncé « numéro 1 au décollage » ce...

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  • Une constatation générale, valable pour tous ces nouveaux appareils en composites, et des paradoxes, les normes anti feu sont draconiennes pour les sièges, revêtements intérieurs etc… mais les fuselages, ailes et structures sont des pièges extrêmement inflammables … donc très dangereux, tout cela au non des économies et de l’écologie…
    Une conclusion : les normes: on en met ou l’on veut et on ferme les yeux ailleurs.

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