En complément de sa commande de 118 Airbus, l’Iran commande également 40 ATR 72-600 (dont 20 options) pour un montant évalué à un milliard d’euros. Le constructeur franco-italien renoue avec un client de longue date.
Les visites présidentielles officielles ont cela de commun avec les salons aéronautiques, est qu’elles concentrent les annonces. La venue en France du président iranien n’a pas dérogé à cette règle. Les contrats signés en rafale à l’Elysées ont fait l’objet d’intenses négociations politico-commerciales en amont. Ils étaient ficelés. Il ne restait plus qu’à choisir le moment opportun pour les rendre public.
L’aéronautique a été gâtée. Les gros ont été servis les premiers : Airbus avec une commande de 118 appareils...