Pour faire face à la montée en puissance de son plan de charge lié notamment à ses contrats avec la Chine, l’école de Montpellier renforce son équipe pédagogique.
L’ESMA Aviation Academy tourne à plein régime. Sa flotte a enregistré plus de 4.300 heures de vol entre juillet et août, et en septembre elle a atteint 2.400 heures. Elle est partie pour totaliser 24.000 heures de vol en 2010 contre 16 000 réalisées en 2009 (+ 25 %). Avec l’arrivée de trois nouveaux Diamond (deux bimoteurs et un monomoteur) sont parc atteint désormais 16 avions.
Pour accompagner cette spectaculaire montée en puissance, l’école recrute des instructeurs avion. Les profils recherchés sont :
Les sélections se dérouleront à Montpellier en décembre 2010 pour des postes à pourvoir début 2011. Les CV et lettres de candidatures sont à transmettre à Mr. Stéphane Guelin, CFI adjoint : stephane.guelin@esma.fr
Gil Roy
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L’ESMA recrute des instructeurs avion
Sa réussite est liée aux intégrés chinois et vietnamiens, mais l'école a aussi de plus en plus de succès auprès des autodidactes modulaires. Je sors de l'ESMA, et hormis quelques petits accros avec le directeur financier (que l'on ne rencontre qu'en début de formation), je suis complètement satisfait de ma formation dans cette école.
Charles Bertrand, Stéphane Guélin, et Albert Canet (SFI que l'on voit ci dessus dans le simu) ont été des instructeurs formidables. L'école est relativement bon marché comparé à la concurrence, alors qu'on en sort avec plus d'heures bimoteur qu'ailleurs car le CPL se fait sur DA42. La région est idyllique, l'entretien des avions irréprochable, les ops opérationnels. Le débat autour du DA42 est un faux débat. Il suffit de discuter 10 minutes avec les mécanos de l'ESMA pour comprendre à quel point les avions sont fiables. Les moteurs vont au bout des potentiels, les avions sont réparés rapidement, les formations sont terminées dans les temps et les devis respectés. Quand au G1000... là encore un faux débat. Un HSI et un RMI, qu'ils soient sur un vieil instrument ou sur un écran, restent des aiguilles et la technique est la même. Sauf qu'en plus de maitriser les aiguilles, en sortant de cette école on sait aussi maitriser un autopilot performant et les aides confortables que peuvent fournir des avioniques modernes. On sait aussi s'en passer.
Je suis en MCC actuellement, sur Falcon 20, et sans prétendre être un champion, je sens bien que mon niveau de sortie de l'école est très bon et que je suis tout à fait à l'aise avec des méthodes, procédures, briefings professionnels qui sont les mêmes qu'à l'ESMA.