Face à l’accentuation des pertes des compagnies aériennes en Europe, l’Association du transport aérien international (IATA) reste très mesurée dans ses prévisions 2012 malgré des signes encouragements, en particulier la baisse prix du pétrole.
Quand un voyant s’éteint, un autre s’allume. Il y a encore quelques mois, la hausse du pétrole était la menace numéro un pour le transport aérien mondial. En mars dernier, elle avait même contraint l’Association du transport aérien international (IATA) à réajuster à la baisse ses prévisions de résultats pour 2012. Elle tablait alors sur un baril à 115 $, elle retient maintenant 110 $. Le risque d’une flambée du pétrole s’est momentanément éloigné. La menace se situe désormais au...