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La NASA pousse les avionneurs à la rupture… technologique.

La NASA fait plancher les trois grands constructeurs aéronautiques américains sur l’avion de transport du futur proche.

Fin 2010, la NASA a conclu des accords avec trois constructeurs américains distincts, Lockheed Martin, Northrop Grumman et Boeing, afin qu’ils lui proposent des concepts innovants d’avions susceptibles de voler avant 2025. L’agence vient de dévoiler les pistes que pourraient suivre chacun des constructeurs, compte tenu de leurs travaux initiaux.

D’emblée, il apparaît clairement que le trio explore des voies radicalement différentes, bien que le cahier des charges soit le même pour tous. Les avions doivent être capables de voler à...

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8 commentaires

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  • La NASA pousse les avionneurs à la rupture… technologique.
    Je n’ose pas imaginer les retards de productions, déjà 3 ans pour le 787…sans parler de l’A380-800 alors pour un design tout à fait différent…quel défi technologique et de fabrication…il faudra vraiment calculer ce que peut apporter de plus en terme d’économie de carburant et de confort pour les passagers et les équipages pour un investissement énorme et en plus if faudra très certainement adapter les plateformes aéroportuaires…
    Bien cordialement
    Christopher

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  • La NASA pousse les avionneurs à la rupture… technologique.
    Bonjour,
    Même si l’aéronautique fait beaucoup de progrès, les constructeurs américains seront comme les autres tenus à une rigueur économique qui impose aujourdh’ui et continuera d’imposer demain des projets réalistes et non ceux proposés qui ressemble à des vues d’artistes . Les paris sont ouverts…

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  • La NASA pousse les avionneurs à la rupture… technologique.
    Je suis du même avis.
    Un nouveau type d’avion c’est bien, mais si il peut pas être accueilli par les aéroports d’aujourd’hui bah ca sert à rien…

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  • La NASA pousse les avionneurs à la rupture… technologique.
    Les vols du X-48 en version jet semble démontrer que ça marche pas si mal que ça dans une utilisation « liner » plutôt soft, que ce soit au niveau stabilité ou fonctionnement des moteurs. Sur un chasseur ou il faudrait de la maniabilité et donc la possibilité de grosses incidences, ça ne serait pas la même histoire. A noter que par rapports aux premières esquisses du BWB, les moteurs ne sont plus intégrés à la surface de l’aile voire noyés dedans, mais plutôt positionnés sur un pod pour les écarter. Il devait en effet y avoir des problèmes aérodynacomiques…
    L’avant projet Northrop ne m’inspire pas vraiment, et si l’aile rhomboïdale a démontrée qu’elle marche et plutôt bien, la position du moteur me parait carément loufoque et hors de propos d’une utilisation en ligne (maintenance ?), sans parler de « et elle est ou, la dérive ? » Sinon ça ferait un projet qui passerait bien dans l’esprit public, il y a encore un fuselage de forme connue…

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  • La NASA pousse les avionneurs à la rupture… technologique.
    Mouais.

    Le BWB en tri-turboprop pourquoi pas, avec une croisière « lente » a M0.7. Encore que la ou ils sont implantés, les moteurs risquent d’avoir un souci avec les flux d’air aux grandes incidences – et je crois pas a la version jet a cause de ca.
    En plus si je me souviens de ce qui est ecrit dans le cours de meca vol, pour que l’aile soit autostable, il faut qu’elle soit à double cambrure pour avoir un couple cabreur a incidence nulle. Est-ce bien compatible avec le couple piqueur des moteurs tels qu’ils sont placés ? Ou faudra t’il cambrer l’aile au point de lui faire perdre une grande partie de sa finesse ?

    Northrop semble venir avec son petit tonneau pour le faire remplir, mais je vois pas ou son design ferait gagner quoi que ce soit.

    Enfin l’aile rhomboedrique si elle a peu de trainée d’incidence, aura beaucoup de trainée de profil, ou alors, il faudrait l’implanter complètement différemment (moins longue, plus de corde, beaucoup plus en avant, avec les deux surfaces AV et AR porteuses, et des CDV electriques).

    Pour l’instant, j’ai plus l’impression qu’il s’agit d’aller récolter des fonds publics en poussant des concepts marketings aupres des politiques qui n’y comprennent rien de toutes facons, que de se mettre serieusement au travail.

    Comme le mentionnait un autre post, le B2, lui, vole, et ne ressemble pas a ca. Pourtant son cahier des charges (transporter un max de poids le plus loin possible, en se faisant pas trop remarquer en termes de bruit – et du reste il est vrai) est deja celui de l’aviation civile

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  • La NASA pousse les avionneurs à la rupture… technologique.
    Décidément on aura vu la BWB de Boeing sous toutes les formes ! Avec des winglets, maintenant dérives au centre, tri-réacteurs, bi-réacteur (GE90 ?), et maintenant tri-turbopropulseur !
    La BWB date d’il y a au moins 10 ans et était une sorte de concurent innovant au projet A3XX devenu plus tard A380… Voir aussi le X-48, BWB à echelle réduite testée à Edwards…Rupture technologique ??? Dans ce cas les mentalités sont vraiment longues à changer…

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  • La NASA pousse les avionneurs à la rupture… technologique.
    Curieusement, Northrop qui fut sauf erreur de ma part, l’inventeur sinon l’instigateur de l’aile volante, n’a pas l’air de vouloir poursuivre dans cette direction ; pourtant, aujourd’huy et grâce à l’informatique embarquée, les « problèmes de pilotage » dus à cette aérodynamiques particulière sont résolus !

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  • La NASA pousse les avionneurs à la rupture… technologique.
    Bonjour,

    Ces projets sont tous très intéressant mais à mon avis le seul viable en pratique est la vision de Lockheed Martin. En effet, c’est le seul à reprendre, en gros, l’architecture générale d’un avion d’aujourd’hui.

    Or, et on l’a bien vu avec l’A380 ( qui reste somme toute assez classique mis à part le gabarit), les ramafications en terme d’acceuil d’un nouveau concept d’avion dans une plate forme existante sont énormes.

    Et puis, le concept de Lockheed Martin, il en jette quand même pas mal

    Pierre

    Répondre

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