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L’aviation rattrapée par la Commission européenne

Transport aérien, automobile, habitation… aucun secteur n'est épargné par le plan "Fit For 55" proposé par la Commission européenne. © Gil Roy / Aerobuzz.fr

Le 14 juillet 2021 à Bruxelles, la Commission européenne a tiré un feu d’artifices de mesures visant à accélérer la réduction des émissions au sein de l’Europe. Ce plan baptisé « Fit For 55 » propose de taxer fortement les émissions de C02 et, notamment, d’instaurer une taxe kérosène.

Le programme « Fit For 55 » présenté le 14 juillet 2021 par la Commission Européenne s’articule autour de 12 directives et règlements visant à réduire les émissions de CO2 de l’Europe d’au moins 55% d’ici à 2030 (par rapport à 1990). La trajectoire actuelle abouterait à un petit -40%. Pas assez considère désormais la Commission si l’Europe veut atteindre la neutralité carbone en 2050.

Tous les secteurs d’activité vont devoir faire d’énormes efforts. Il est question par exemple d’interdire les véhicules...

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26 commentaires

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  • sur l’autoroute A20, j’ai discuté avec un belge chargeant une voiture électrique à la hauteur d’Orléans, 35 minutes, m’a-t-il dit. Il venait de prendre RDV, par téléphone, avec une station au nord de Paris. Le porte bagages sur le toit devait l’handicaper.

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  • par François Henriot

    Depuis des années déjà (2008/2009, annonces Sarko), me limitant alors à l’automobile, je pose et repose des questions simples: à partir de quoi (matières diverses) et avec quelle indépendance, au moins continentale, construire des batteries à autonomie de 600 km ou plus; d’où proviendra toute l’électricité nécessaire à la nouvelle consommation quotidienne. Et je n’ai pas encore obtenu la moindre réponse crédible. Je ne suis pas contre la recherche tous azimuts! Mais l’aveuglement des « spécialistes » de l’environnement me révulse. Première étape toute récente: la future usine nordiste de batterie par Renault est en fait chinoise. Rassurant?

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  • par Jean-Pierre BOURGEOIS

    Hélas non, ….. le climat ne change pas actuellement comme il le fait selon les cycles naturels très bien connus pas les spécialistes du climat, mais bien par nos activités humaines qui en sont responsables qu’on le veuille ou non, Ce qui est étrange c’est de voir que les gens croient à la science quand il s’agit de choses agréables comme par exemple construire un Concorde, mais ne la croient plus pour des choses désagréables comme le changement climatique qui est pourtant totalement indiscutable et qui scientifiquement ne se discute même plus… Va falloir se réveiller jeunes gens …. Car le réveil sera d’autant plus rude qu’on réagira à la petite semaine par simplement des mesurettes comme taxer le kéro ou imposer la voiture électrique. Pour tout dire les carottes sont déjà cuites.

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    • Là où la SCIENCE n’a rien apporté comme PREUVES à ce changement climatique c’est que c’est l’activité humaine de ces 50 dernières années qui en est la cause.
      Comment les scientifiques mesurent’ils la température MOYENNE des océans et de l’ATMOSPHERE dans telle ou telle région du globe ?
      Tous les jours à la TV on nous parle de la température moyenne de la moitié nord de la France ou de la moitié sud. Comment les météorologues établissent ‘ils scientifiquement ces valeurs ?
      C’est du même crin que les alertes oranges qui suivent le contour administratif des départements. Foutaises je vous dis.
      Et quand les européens auront atteint les objectifs fixés par les bureaucrates bruxellois, qu’en sera t’il des autres milliards d’humains ? On voit ce qui en est des vaccins « donnés » aux pays pauvres ; quelques millions pour les milliards d’individus.

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      • Des milliers de scientifiques ont déjà répondu à cela, et quelles preuves faudrait-il encore pour ceux qui n’y « crois » pas maintenant ! Vous aurez loupé l’essentiel.

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      • Alors là j’en suis par terre !
        Comment pensez-vous qu’il soit possible d’obtenir la température de n’importe quel aéroport, port, ou ville du monde depuis une bête application météo ?
        Parce-que la planète est recouverte de stations météos en lien avec un organisme public ou privé officiel dans chaque pays, chargé de collecter, centraliser et diffuser les infos.
        Ensuite il y a centralisation des données au niveau d’ordinateurs géants qui échangent ces infos entre eux pour permettre la prévision météo à la surface du globe.
        A partir de là, un simple clic permet de lancer un calcul de moyenne, et avant l’ordinateur déjà les choses se passaient de la même façon, avec plus de temps, de l’huile de coude et un peu moins de précisions car il y avait encore des territoires vierges sur la planète….

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      • J’aime jeter un œil en passant aux commentaires mais sur ce coup, je taille ma plume d’oie !

        En plus des réseaux de mesure au sol cités, il y a des capteurs embarqués sur des avions et navires commerciaux (système Amdar : http://www.meteofrance.fr/prevoir-le-temps/observer-le-temps/moyens/les-capteurs-embarques).

        Des satellites géostationnaires ou défilants avec des capteurs comme IASI apportent une couverture globale (« Avec plus de 8 000 canaux dans l’infrarouge, IASI mesure les profils atmosphériques avec une résolution verticale de 1 à 2 km et une précision de l’ordre de 1 °C pour la température et 10 % pour l’humidité. Ces performances restent inférieures à celles du radiosondage. Mais, grâce au satellite, le sondeur fournit des profils deux fois par jour, partout à la surface de la Terre. », source http://www.meteofrance.fr/prevoir-le-temps/observer-le-temps/moyens/les-satellites-meteorologiques#).

        L’une des meilleures représentations du réchauffement actuel sont les « warming stripes » comme https://en.wikipedia.org/wiki/Warming_stripes#/media/File:20190912_Stacked_warming_stripes_-_atmospheric_layers_(derived_from_Ed_Hawkins).png (version tinyurl : https://tinyurl.com/34ps9xtc) Chaque bande représente l’écart à la normale d’une année à une altitude donnée. La tendance saute aux yeux.

        Le découplage entre une basse atmosphère qui se réchauffe et une haute atmosphère qui se refroidit provient de la rétention des rayonnements thermiques en couche basse par les gaz à effet de serre qui s’y trouvent. Ce qui invalide au passage toute cause astronomique au changement actuel (haute et basse atmosphère se réchaufferaient toutes les deux).

        On dispose d’infos directes sur le climat des 800 000 dernières années grâce aux bulles d’air piégées dans les glaces. Rien n’y ressemble à l’excursion actuelle des températures, en valeur et en rapidité. On est dans l’inconnu.

        Dur de lire ça quand on bosse dans le spatial 🙁 !

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      • par Pilotaillon, vivant et réaliste

        C’est pas comme si la météo est toujours été considérée comme une donnée clé des organisations humaines (les travaux extérieurs, les récoltes, les risques sur les biens…).
        Je vous laisse imaginer à quelle date ont été réalisés les premiers relevés.
        Ensuite il y a eu la découvertes des marqueurs naturels (dont les carottes glaciaires) qui ont permis de corroborer les différentes informations, à l’échelle des grands phénomènes globaux.
        Doit-on parler de météo, science reposant uniquement sur des hypothèses ?
        Encore une fois (@colibri) l’homme est présomptueux, appuie ses raisonnements sur du très court terme, et surtout ne cherche pas à entrer dans les sujets.
        Un peu « donneur de leçons », désolé, mais par ces propos je cherche à révéler un de nos plus dangereux atavisme… Le fameux PFH d’Hubert Reeves.

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      • En lisant ce genre d’argumentaire, je repense à ce film commenté par Al Gore, ex vice président des Etats Unis, Une vérité qui dérange, et qui montrait de façon magistrale cette brusque évolution des courbes de température et CO2 en 60 ans ceci sur une perspective de plus de 650 000 ans. Regarder ailleurs est une option mais plus pour bien longtemps sachant que la vanité n’a rien d’une assurance vie.
        Mais heureusement, on tient là les vrais coupables : des médias qui mentent et des « bureaucrates bruxellois »…

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      • Je vois que les réponses se sont déchaînées avec raison.
        Pour finir cette histoire, il existe 4 grandes bases de données établissant les moyennes de températures de surface à partir des données de base directes ou indirectes, avec des moyens considérables d’homogénéisation, de compensation, correction des biais etc… via les modèles climatiques qu’on peut lancer sur n’importe quelle période (les paramètres de base sont connus pour toutes ces époques, comme l’irradiance solaire, le couvert végétal etc…). Ces 4 bases sont :
        – NASA : Goddard Institute for Space Studies – base « GISTEMP »
        – NOAA : National Climatic Data Center – base « MLOST »
        – Met Office : Hadley Centre/Climatic Research Unit – base « HadCRUT4 »
        – Japanese Meteorological Agency – base « JMA »
        Vous trouverez bien sûr les infos sur les sites internet respectifs.
        Dernière précision : toutes ces bases donnent à peu près le même résultat, à quelques dixièmes près.

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      • La température moyenne n’existe pas. C’est un indice calculé à partir de nombreux paramètres. Cet indice permet de faire des comparaisons, d’observer des évolutions, des tendances. Cet indice était nécessaire pour avoir une base d’études, il a donc été créé suite à un accord entre les premiers participants du GIEC. Pour « marquer » les esprits on lui a donné un nom (et une pseudo unité) de température. Pour lui permettre d’être mieux accepté, le paramétrage de cet indice a été conçu pour aboutir à une valeur « parlante » aux non-scientifiques.

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    • Imposer la voiture électrique, c’est déjà prêt. Linky est prévu pour cela.

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      • Eh oui, mais pas un seul journaliste ou politique ne vous dira que lorsque le parc d’auto électrique sera conséquent, le Linky servira à facturer les Kw de recharge des autos à un tarif permettant de récupérer la TICPE (ex TIPP) perdue sur le carburant.
        Et il n’y aura pas le choix, votre chargeur ne fonctionnera que si il est branché derrière un Linky…
        Adieu les économies !!!

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      • Soit on suit le GIEC et les écolos de tous poils (j’exclue les écologistes) soit on réfléchit aux théories de Milancovitch, comme :
        https://www.youtube.com/watch?v=FTzmqjDNMmM
        https://planet-terre.ens-lyon.fr/ressource/milankovitch.xml

        en se souvenant que des changements climatiques de grande ampleur ont balisé l’histoire de la Terre à des époques où il n’y avait aucune activité industrielle, aucune pollution d’origine humaine ( les écolos vitupéreront contre les feux pour cuire le sanglier) et qu’au XIII ème siècle on cultivait la vigne chez la perfide Albion.
        Lesquels changement climatiques s’apprécient en dizaines de milliers d’années, avec des épisodes chauds en période glaciaires.

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    • OK, mais question bête :
      On veut de moins en moins de centrales nucléaires et de plus en plus de véhicules électriques, donc paradoxe.
      Comment va t’on produire l’électricité ?
      Le gisement hydro électrique étant presque épuisé, il faudra des forêts d’éoliennes et des hectares de panneau solaires avec tout le problème du recyclage de ces matériaux.
      Concernant les batteries, il faut actuellement 20 kg de batteries pour remplacer 1 kg d’essence.
      J’aimerais que les gens qui se prétendent politiquement écolos, qui veulent tout et son contraire m’expliquent comment va t’on faire ?
      Merci.

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  • La plus menace c.est la Surpopulation
    Méritons cette Maxime (trop de trop ne vaut rien

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  •  » Cela signifie que la filière automobile doit complètement se transformer pour passer à l’électrique en dix ans. »

    Ce qui est totalement idiot. Les Lithium, Cobalt, Aluminium, Manganèse, Cuivre… qui constituent les batteries des voitures électriques, ça ne pousse pas dans les arbres. Il faut d’abord dynamiter des dizaines de milliers de tonnes (pour une seule batterie) et transporter ces dizaines de milliers de tonnes par camion entre la mine et l’usine d’extraction. Donc déjà, on a consommé environ dix tonnes de fioul lourd (encore plus polluant que le diesel – et avec cette quantité, on pourrait faire plus d’un million de kilomètres en vieux diesel des années 80). Ajoutez à cela le fonctionnement de l’usine, le transport des billes de métal par bateau entre l’usine de traitement et les usines de fabrication…. bref, à la fabrication, le bilan carbone est désastreux.

    Ensuite, une fois les véhicules produits, il faudra compter sur les centrales nucléaires françaises, belges et slovaques pour alimenter tout ça ?

    Les décisions de la commission européenne sont parfois tellement bêtes, qu’on se demande s’ils ne les inventent pas parce qu’ils ne savent pas quoi faire d’autre.

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    • Tout à fait d’accord avec vous!
      Bravo à la voiture électrique qui roule sans bruit et sans polluer (?).
      Mais avant sa fabrication et ensuite avec les batteries usées,où en est-on de la pollution? C’est encore pire avec la production d’électricité si on supprime,tel que c’est prévu par les écolos en France, les Centrales nucléaires.
      On se demande si nos politiques ne sont pas devenus FOUS!

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    • par Pilotaillon, vivant et réaliste

      Bis repetita : le monde change à la vitesse grand V !
      o L’EU a fait paraitre sa taxonomie (https://ec.europa.eu/france/news/20210421/finance_durable_et_taxinomie_fr), avant de mettre en place une fiscalité discriminante contre les activités génératrices de CO2,
      o il existe de nombreuses recherches en cours, (on parle uniquement d’H2), de procédés d’extraction moléculaires (H2) que se soit électrique, cogénération ou même biologiques
      o l’économie circulaire (réduire la consommation destruction des ressources) est encouragée, la réparabilité,
      o l’inrae est pilote sur la mesure et l’accompagnement des modes de production agricoles « décarbonants » (dont le principe https://www.4p1000.org/fr), et j’en passe
      o l’autonomie industrielle (n’est pas encore faite mais le Covid est passé par là) figure dans les orientations stratégiques…
      Et ce n’est que la partie émergée des travaux visant à créer le monde de demain…
      Tout le monde a bien pris la mesure des enjeux, financiers et spéculateurs compris, sans stabilité climatique => plus de profits.
      Il y a désormais pléthore d’infos, de débats et de solutions sur la toile, avec un peu de sens critique et d’ouverture d’esprit, il y a de quoi se faire un avis sur les technos et les acteurs de demain. (un petit exemple pour la route https://www.carbios.com/fr/…)
      Mais rien du côté des petites cylindrées avionnées : cherchez l’erreur ?

      Répondre
    • Oui mais pourtant, même en quantifiant tout cela sur le cycle de vie d’un véhicule, l’électrique garde un gros avantage sur les véhicules thermiques. Car vous ne chiffrez rien, mais des études ont heureusement été conduites sur la production, l’utilisation et le recyclage des véhicules.

      Exemple avec cet article:
      https://www.google.fr/amp/s/www.autoplus.fr/environnement-2/co2-le-bilan-carbone-dune-auto-electrique-vs-thermique-320097.html/amp

      Même un véhicule fabriqué en Chine et rechargé en Pologne avec une électricité au charbon, un VE émet au cours de son cycle de vie 22% de CO2 en moins qu’un diesel, et 29% par rapport à une essence.

      En France ou en Suède le gain est de l’ordre de 77-79%.

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    • J’ai toujours soutenu qu’un jour ou l’autre, on imposera de petites voitures, avec de petites batteries, une petite autonomie (mais il y aura des progrès), et surtout une petite empreinte carbone. Le tout ayant un impact énergétique contrôlé.
      Mais ça ne fera pas plaisir à tout le monde.

      Répondre
  • Comme l’homme est présomptueux !! Vouloir infléchir le cours des cycles de notre planète en 30 ans !
    Qu’est-ce 30 ans comparés aux 4 milliards d’années que tourne notre planète avec d’innombrables changements climatiques?
    Oui, OK, le climat change mais il a toujours changé ! Alors faisons les choses calmement…
    A quoi bon des véhicules électriques par millions, des avions électriques, du chauffage par pompe à chaleur alors que nous ne serons pas en capacité de les alimenter dans les 15 ans autrement qu’en augmentant considérablement le nucléaire (je ne suis pas contre) et les centrales à fuel ou charbon; l’éolien et le solaire ne sont que des gadgets comparés aux besoins.
    A t’on réfléchi aux surfaces à cultiver pour produire les bio-carburants de nos avions ? Avec qu’elle énergie ferons nous travailler les machines agricoles ?
    Quid des pays émergeants qui ont du mal à se nourrir ?
    Quid de la « casse » sociale sans précédent que vont causer ces transformations fondamentales beaucoup trop rapides ? Il est certain que l’orsque nous ne pourrons plus consommer, les émissions de carbone diminueront !
    Laissons le temps aux ingénieurs de développer des solutions pérennes (peut-être l’hydrogène ou le nucléaire encore mieux maîtrisé ?) et en attendant soyons sobres et travaillons sur des économies de consommation, il y a encore du potentiel !

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    • Ça fait tout bizarre de lire des propos pondérés au milieu des emballements et surenchères médiatiques actuels 🙂

      Répondre
    • Tous les gens raisonnables ne PEUVENT tenir que le même discours que vous.
      Vous noterez que les « ronds-de-cuir » qui arrêtent ces dates butoirs ne disent pas COMMENT allons nous faire pour parvenir à satisfaire leurs buts et qu’ils se gardent bien de s’y investir à ce travail concrètement.
      En recherche scientifique les résultats ne se décrètent pas et on ne donne pas de dates pour réussir à trouver des solutions.
      YAKA ……..FAUCON

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    • Il y a déjà des millions de réfugiés climatiques de par le monde, la production alimentaire décline à cause du réchauffement climatique…etc C’est ça qui menace l’humanité, pas l’action pour construire un « autre monde » (si temps est qu’il ne soit pas déjà trop tard…).
      Il semble au moins que l’Europe s’attaque à toutes les sources d’émissions, et non, comme en France, au seul bouc émissaire de l’aviation, cache sexe de l’inaction macronienne en la matière….

      Répondre
    • par Pilotaillon, vivant et réaliste

      C’est comme la vaccination : on attend que les plus réfléchis se soient préservés et on siffle la fin de partie pour la génération des « Enfants gâtés et Poltrons » (des trentenaires qui agitent des drapeaux de la France Libre sic) : la récré est finie, on cesse de jouer avec es bijoux de notre nation (Santé, environnement et économie).
      L’aviation populaire (aviation loisir, aéromodélisme, vol-libre…) est un petit bijou, je le pense ! Sachons nous vacciner de nos habitudes, passons au vert et à l’ouverture à nos voisins.

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