Accueil » Transport Aérien » L’économie du transport aérien pire que prévue

L’économie du transport aérien pire que prévue

En 2021, le transport aérien va continuer à vivre à crédit. Le trafic passagers ne reviendra pas à son niveau de 2019 avant 2024. © Gil Roy / Aerobuzz.fr

L’International Air Transport Association (IATA) revoit une fois de plus ses prévisions à la baisse. Les pertes des compagnies aériennes mondiales devraient atteindre 118,5 milliards de dollars en 2020 et 38,7 Md$ en 2021.

« Cette crise est dévastatrice et implacable. », affirme Alexandre de Juniac, directeur général de l’IATA. « Les compagnies aériennes ont réduit leurs coûts de 45,8 %, mais les recettes ont diminué de 60,9 %. Il en résulte que les compagnies aériennes perdront 66 dollars pour chaque passager transporté cette année, soit une perte nette totale de 118,5 milliards de dollars. Cette perte sera fortement réduite de 80 milliards de dollars en 2021. Mais la perspective de perdre 38,7 milliards de dollars l’année...

Ce contenu est réservé aux abonnés prémium

Les formules prémium

Accès 48h

Tous les articles en accès libre pendant 48h, sans engagement
4.5 €

Abo 1 an

Soyez tranquille pour une année entière d’actus aéro !
69 €/ an

Abo 1 mois

Testez l’offre Premium d’Aérobuzz pendant 1 mois
6.5 €/ mois

Abo 6 mois

Un semestre entier d’actualités premium
36 €/ semestre
Trouve l’offre prémium qui vous correspond

7 commentaires

La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.

  • Cette situation est triste en ce qui est de l’emploi. Mais heureuse pour beaucoup d’autres aspects : moins de pollutions, moins de gaspillages, moins de destructions environnementales… La flore et la faune récupèrent (un peu). Un petit répit avant que cette course folle vers l’anéantissement final ne reprenne…

    Répondre
  • Répondre
  • par Un lecteur averti

    C est beau tous ces chiffres et larmes , sans parler de Mr de Juniac qui les énonce depuis le début.
    Mais concrètement ce président de IATA , il fait quoi pour trouver des remèdes ?

    Répondre
    • Comme le Medef…se plaindre et récupérer des aides, c’est à dire en francais de tous les jours les impôts de ceux qui les paient !

      Y en a marre des discours des rentiers : le principe du commerce c’est d’avoir une offre qui répond a une demande ! Le reste c’est du corporatisme ! Alors au boulot les crânes d’oeuf…

      Quand on fait partie des wagons du train des restructurations c’est le discours que cette élite qui est servi aux salariés : comprenez que si vous fabriquer des produits qui ne se vendent pas, on ne pourra vous payer !

      Répondre
    • De Juniac est un dilettante qui après Air France s’était décroché une encore meilleure poire. Maintenant que cela se complique il se tire…

      Répondre
  • Oui, le constat est là ! Qui faire sinon attendre des jours meilleurs…Ce qu’il faut noter et apprécier à sa juste valeur humanitaire c’est que beaucoup de destinations sont presqu’indemnes de cette pandémie…On peut rêver de s’y rendre mais pour une fois le vieux slogan de l’apport de la civilisation vole au ras des paquerettes ! Et voudraient-ils nous accueillir ?

    Répondre
    • Je ne pense pas que les autorités et les habitants des rares zones du globe, peu touchées ou pas par cette pandémie, apprécieraient voir débarquer chez eux des voyageurs possiblement contaminés par la Covid19!

      Répondre

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Les commentaires sont reservés aux Abonnés premium

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.