Bombardier doit livrer le premier Global 6000 à NetJets Europe en décembre 2012 pour une mise en service commercial le 1er février 2013. Alors que le spécialiste de la propriété partagée d'avions d'affaires réduit sa flotte de modèles d'entrée de gamme, il connaît un regain d'activité sur le haut de gamme.
NetJets Europe accroît sa flotte d’avions d’affaires...
3 commentaires
La possibilité de commenter une information est désormais offerte aux seuls abonnés Premium d’Aerobuzz.fr. Ce choix s’est imposé pour enrayer une dérive détestable. Nous souhaitons qu’à travers leurs commentaires, nos lecteurs puissent apporter une information complémentaire dans l’intérêt de tous, sans craindre de se faire tacler par des internautes anonymes et vindicatifs.
NetJets Europe parie sur le long-courrier
Petite correction aussi quant au nombres de fois ou Netjets a réduit son nombre de pilotes.
Cela ne sera pas la deuxième fois mais la 3eme. Une première fois en Aout 2009, une deuxième fois en Aout 2011 et une troisième fois d’ici quelques mois (le fait mentionné dans cet article).
A cela j’ajouterai aussi que pres de 25% du personnel(environ une centaine de personnes) au sol a Lisbonne a eu aussi 3 heures pour dégager leurs bureaux, alors qu’ils venaient a peine d’embaucher un matin, sans aucun préavis (oui comme dans les films américains) quand les mesures les ont touchés.
Ce sont les faits…
NetJets Europe parie sur le long-courrier
Comme d’habitude, Netjets noie le poisson avec des pubs en décalage avec la réalité du moment.
15 % de pilotes virés (volontairement ou non) d’ici peu, deja pres de 300 en tout depuis 2009. Un nombre de vol generant du revenu en constante baisse depuis fin 2006 et malgré ces derniers départs annoncés, un sureffectif pilote de près de 150 voire plus.
La cloture de Netjets Middle East il y a peu, etc….
Bref, un projet un peu a bout de souffle qu’il faut bien tenter de revigorer avec des annonces comme celles ci.
NetJets Europe parie sur le long-courrier
bonjour Gil,
tout ceci est très beau, et toujours très bien présenté par Netjets…mais la réalité est un peu plus cruelle, il faut savoir que Netjets vis à vis de certains de ses pilotes français a entamé une procédure de négociation basé sur le départ volontaire, si les quotas ne sont pas atteints, ce sera la porte sans indemnités…cruel dilemne. Les pilotes français et/ou suisses sont visés en premier, car ce sont eux qui « coutent » le plus cher en charges patronales….encore une démonstration que les salariés français sont parmis les plus taxés en Europe. Qu’en pense notre président, lui qui commence à apprécier le confort de l’A330, malgrès ses intentions initiales???