Deux ans après s’être doté d’une tête de pont à Pékin, ATR a décroché en juin 2017 ses deux premiers contrats avec des compagnies chinoises. Dans le même temps, le constructeur franco-italien a mis au point avec l’ENAC une formation intégrée d’élèves pilotes de ligne (EPL) débouchant sur une qualification de type ATR.
ATR duplique en Chine la stratégie qui lui a permis de prendre pied au Japon. En Chine, le constructeur doit composer avec le protectionnisme ambiant. D’où la limitation de ses ATR 42-600 à 30 sièges pour ne pas concurrencer les constructeurs chinois.
Outre le protectionnisme avec lequel il faut composer, ATR doit aussi anticiper les besoins en formation de ses futurs clients chinois, et plus largement, asiatiques. Ces pays ont commencé par s’équiper avec des avions moyen et long courrier, délaissant complètement le transport régional. D’où la stratégie d’ATR d’élaborer une offre globale, en partenariat avec l’ENAC déjà implantée en Asie du Sud-est et en Chine.
Dix-huitième président de l’Académie de l'Air et de l'Espace, Bruno Stoufflet a officiellement pris ses… Read More
Un hélicoptère Fennec de l'armée de l'Air et de l'Espace connait un atterrissage dur au… Read More
New Glenn, le lanceur géant partiellement réutilisable de Jeff Bezos et Blue Origin, a finalement… Read More
Lockheed Martin a livré 10 hélicoptères S-70i Black Hawk en 2024 au ministère philippin de… Read More
Honeywell et NXP Semiconductors N.V. ont annoncé au CES 2025 de Las Vegas (7-10 janvier… Read More
La compagnie aérienne nationale Air India veut "anticiper une pénurie de pilotes". Pour se préparer,… Read More
View Comments
Avancer des pions sur un damier chinois c'est risquer la phagocytose.