Les 1100 hectares de l’aéroport constituent un paradis pour les oiseaux. Plus d’une cinquantaine d’espèces dont une trentaine protégées y est recensée. Cette faune représente aussi un problème de sécurité. Pour y remédier, l’aéroport a choisi de faire appel aux ornithologues… plutôt qu’aux chasseurs.
Les oiseaux représentent un danger pour l’aviation. Une collision, au décollage ou à l’atterrissage, peut être lourde de conséquence. » Les pilotes nous signalent entre quinze et vingt incidents par an « , précise Jean-Pierre Flori, chargé du dossier à la direction régionale de l’aviation civile. Le problème est pris très au sérieux à tous les niveaux. Des moyens importants sont mis en œuvre par les aéroports à travers la planète, petits et grands, pour faire fuire les oiseaux qui investissent...
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